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Drôle de Noël. ---------------------
Un fort par mi-temps d’autre, la tempête de sable souffle la rageur de ces grains. Le ravitaillement, ne pourra’ arrivé à temps, mon commandant !
Mais si, Lieutenant, dés que cela ce calme, prenez 10 hommes, vous irez à leur rencontre. Bien, je prends le caporal, Bulteau comme éclaireur, comme vous voulez ! On va encore faire Noël, en
retard, c’est un spécial cette année, on passe en 1900. Faut y, croire Lieutenant. Oui, bien sur mon Commandant.
La nuit ce passe, dans le bruit de la tempête. Au petit matin, le calme plat, miracle. 6 heures du matin, le Lieutenant part, à la rencontre de la colonne de ravitaillement.
On est le 21 décembre, le 22, 23 rien a déclaré, pas de colonne en vue. 24 au matin, 5 heures, chef de poste, homme en vue.
La porte s’ouvre, un vieux, Légionnaire, portant une longue barbe
blanche, rentre au fort, suivis de trois mules, il grogne comme un sapeur. Encore un vieux de la vieille, ce dit l’adjudant chef, Vleitincx ! Le commandant arrive, réveiller par les cris de la sentinelle.
Caporal Noël, excusez du retard mon Commandant, mais la colonne, ces cassée en deux, j’espère ne pas être arriver après les autres, j’ai le ravitaillement nourriture, pour les fêtes. Que c’est il
passé Caporal ? Saleté de temps, à causse de sa nous avons été séparés, le Lieutenant qui commande est un bleu, il n’a pas voulu écouter les anciens, résultat, voilà, la pagaille, mais c’est pas sa
faute.
Ne vous inquiété pas le Lieutenant, le trouvera bien, et puis votre bleu, ce mettra bien a-la raison, d’écouter
les anciens, quant il comprendra c’est tords ! Grâce à vous le cuisinier va pouvoir préparer la veille de Noël,
a temps, en espérant que tous seront présents, allez vous reposer Caporal, vous l’avez bien mérité. Merci, mon Commandant. La journée ce passe en préparatifs, et toujours pas de colonne ! 18 heures.
Colonne en vue, le Lieutenant est de retour, avec le ravitaillement. Enfin, Sergent, envoyer moi les deux Lieutenants, des leur arrives.
A vos ordres, à peine dans le fort, le vieux vous demande directement, au rapport mes Lieutenants, merci Sergent. Bonjour messieurs, content de vous voir. De même mon Commandant. Je vous écoute d »abord ou
avez vous trouvez la colonne ? Hier matin des nomades, nous on avertit, qu’ils avaient croisé le Lieutenant,
ils arrivaient derrière eux, avec un guide a eux. Après cela le retour un jeu d’enfants. Merci, à vous.
Lieutenant G, j’ai reçu l’ordre de conduire le ravitaillement, a votre poste, le malheur est que dés le début de
la tempête, je n’ai pas écouté les hommes, résultat, j’ai confié les mules, de ravitaillement a un bleu comme
moi, elles sont perdues. Je regrette, mon Commandant, personnes ne pourront firent la fête de Noël, par ma
faute. Que ce que vous me raconter, les mules sont arrivées ce matin très tôt, avec un vieux de la vieille. Comment ! Ce n’est pas possible ma compagnie est au complet, dans la cour. Ce Légionnaire, est le
Caporal Noël. Personne dans ma compagnie ne s’appel ainsi. Sortons et allons le chercher, je suis pas fou.
Après une demis heure de recherche, personnes ne le trouve, disparu. Fou, c’est fou, cette histoire. Mon
Commandant, cette lettre se trouvaient sur son lit. Merci, Sergent. Sur l’enveloppe ‘ Ouvrir a Minuit’ !
Parlant de sa, allons lire le courrier. Les nouvelles sont bonnes, Messieurs, j’ai ma nomination de Colonel, je
rentre au pays, avec la colonne, Lieutenant, vous prendre le commandement du poste, comme Capitaine,
vous Lieutenant, vous aller apprendre a ne plus faire de gaffes, en restant ici comme adjoint au Capitaine.
Après les congratulations, tous firent la fête, a minuit, prenant une courte pause, le Commandant lut la lettre a tous.
Mes chères enfants !
De la haut j’ai vu traînés trois mules perdues, je me suis dit que des personnes n’allaient pas savoir fêter
Noël, ni recevoir sont courrier attendu, Je me suis donc engager avec contrat spécial de 24 H 00 a la
Légion, comme je suit plus vieux, que vous tous réunis, j’ai pris un petit grade symbolique, vous ne pouvez
bien sur jamais me considérés comme déserteur, puis que mon contrat est d’être présent tous les ans, pour 24 H 00. Ne perdez plus vos mules, SVP.
Passez de bonnes fêtes de fin d’année.
A l’année prochaine, mes enfants. Caporal de la Légion. Père Noël. Messieurs un comble, dont on ne savait rien, Le père Noël, est Cabot dans la Légion. Trousson yves
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