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L’ENFANT INNOCENCE. Une femme, un enfant a la main, Regarde l’horizon. On est ou Maman ? Dans un endroit, perdu, de dieu et des hommes.
Dit Maman, pourquoi, c’est triste ici ? Les oiseaux, non plus envie de chanter ici. Pourquoi, pourquoi, s’est si beau le chant des oiseaux !
Oui mon fils, c’est si beau, mais des stupides généraux, les en à chasser. Ils sont méchants, je les déteste. Ils n’est pas beau, de détesté, mais c’est gens la tu le peut.
Maman, c’est quoi, s’est trous et c’est lignes profonde, ils vont construirent des maisons ? Malheureusement non, des hommes, on vécut dans ses lignes appeler tranchées,
vivant comme des bêtes dans un terrier, dans ce que tu appelle des trous. Regarde Maman, des étangs, il y a des poissons dedans ?
L’eau de pluie, à rempli des trous fait par des obus de canon, Il n’y a pas de signe de vie dedans. La vie n’existe pas alors ici ?
Non elle y a vécue, un jour elle y mourus assassiné. Maman, il est ou Papa ? Il dort ici, il dort en dessous d’une croix, si difficile a trouvé, tellement il y en a.
Maman, je pourrais dormir un jour près de lui ? Hélas non, mon fils, même si tu deviens un héros, comme lui, mais d’une autre guerre, se que je ne souhaite pas, dieu
me garde, tu ne pourrais que rester lier par l’esprit. Je comprendrais, tout sa un jour Maman ? J’en suis certain, je t’y aiderai, a fin que nul n’oublie jamais.
Je te le promets. Un jour sur un banc d’école, un élève, pose une question a son professeur.
Monsieur SVP, s’est qui sur cette grande photo se trouvant sur le mur, il a une grande barbe, ce soldat ? Lui mon garçon, c’est un poilu, un des nombreux héros, de la guerre
14/18, ma mère, me la donner un jour, en disant, voici t’on père, en souvenir, je l’ai agrandie. Je vous raconterais très longuement un jour. Il est mort Monsieur ?
Oui mes enfants, je ne l’ai pas connu, aussi vous qui avez la chance, de connaître vos parents, aimez les très fort, c’est stupide d’en perdre un, surtout ne perdez jamais
votre innocence, pour qu’il n’y à plus d ‘orphelins de guerre. Dehors, seul les yeux, embués, regarde le ciel,
D’une voix tremblante, venant d’un petit cœur innocent, on entend, Mes chères parents, je vous aime, vous me manquer tellement. Trousson Yves. |